Mise à jour sur le COVID-19

Je vous écris pour donner suite à mon message que vous avez reçu daté du 15 mars dernier. J’ai reçu de nombreux questionnements de la part de nos membres partout au pays par l’entremise des présidentes et présidents des sections locales ainsi que des vice-président-e-s régionaux.

Ces questionnements portent sur la façon dont certains de vos collègues ont été envoyé en télétravail, d’autres d’attendre plus d’informations tandis que d’autres ont reçu la consigne de rester au bureau pour travailler. 

Veuillez noter que le syndicat continue de rencontrer l’employeur pour soulever ces préoccupations et demander une solution urgente et immédiate à la santé et à la sécurité de tous nos membres partout au Canada. Le SEAC souhaite que la direction prise par le bureau des Directeurs des ressources humaines (CHRO), de l’Organisation mondiale de la Santé et du Premier ministre du Canada, soit mise en oeuvre immédiatement. 

En référence à mon message d’hier, si vous avez des préoccupations concernant votre santé et votre sécurité, veuillez en discuter avec votre gestionnaire pour que des accommodements soient prises pour vous pendant cette période. 

Le SEAC conseille aux employés qui ont des préoccupations de demander un congé en vertu de l’article 53 de la convention collective du groupe des services des programmes et de l’administration (PA). La pandémie mondiale déclarée par l’Organisation mondiale de la santé est une circonstance qui n’est pas directement attribuable à vous en tant qu’employé. Le bureau du CHRO conseille à tous les employés du gouvernement du Canada de travailler à domicile à compter du 16 mars. La pandémie mondiale empêche les employés de se présenter au travail pour des raisons de santé et de sécurité. 

Si vous avez des difficultés, veuillez contacter votre présidente et président de votre section locale et mettre en copie votre vice-président(e) régional(e) respectif afin que nous puissions nous assurer que vos droits soient protégés. 

In Solidarity/ En toute solidarité, 

Virginia Vaillancourt